Premier-Empire, le jeu ! |
| | Schwarze Wölfe | |
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| Sujet: Re: Schwarze Wölfe Dim 29 Mar 2009 - 23:25 | |
| I:Histoire du Ier AR Windisch-Grätz
1)Origine et Objectif:
-Origine
Le Ier Artillery Regiment Windisch-Grätz voit le jour lorsque la Windisch Grätz Division sent la nécessité de s'équiper d'un régiment de soutien et tout particulièrement d'un régiment d'artillerie.Le Colonel Vladimir d'Osttirol, Artilleur reconnus mais ayant une maigre expérience du combat est désigné pour prendre le commandement de ce régiment. Aussitôt il descends vers la Ville de Koblenz avec ses 10 pièces de 8 livres et prêt de 600 Jäger.C'est à ce moment là que commence la carrière du Ier AR WIndisch-Grätz
-Objectif
Dans un premier temps le Ier AR Windisch-Grätz est utilisé dans le seul but de fournir un appuis feu. Ses batteries font leurs preuves à de nombreuses occasions tandis que les Jäger rendent service tout en remplissant leur mission d'observation pour l'artillerie.Lors de la bataille de Koblenz le Régiment s'équipera d'un hôpital de campagne d'abord de 100, puis de 200 hommes, s'affirmant ainsi comme l'élément clés du soutien au sein de la Windisch-Grätz Division.
Dernière édition par Vladimir d'Osttirol le Lun 30 Mar 2009 - 21:07, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Schwarze Wölfe Lun 30 Mar 2009 - 21:05 | |
| 2)Bataillons et escadrons -Artillerie:La Batterie "THOR"C'est sur cet élément que repose tout le Ier AR Windisch-Grätz. Les 10 pièces de 8 livres semèrent la terreur sur de nombreux champs de batailles. Elle frappait l'ennemi où qu'il se trouve et en faisant preuve d'une violence extrême. Les artilleurs nommèrent leur batterie "THOR" en référence au dieu de la foudre et ce nom fut adopté par le Major en fonction puis par le Colonel d'Osttirol. Par la suite le nom de cette batterie mythique fut repris par les escadrons de cavalerie du Colonel d'Osttirol.D'une part par tradition et d'autre part pour garder cet esprit de frapper vite,fort et partout. -Jäger:Le Bataillon des "Chats Noirs"Les Jäger qui composaient le bataillon des "Chats Noirs" étaient des professionels de l'observation,du harcèlement des troupes ennemis et de l'infiltration.Ils étaient à la base composés de troupes autrichienne mais le Colonel d'Osttirol les remplaça en grande partie des "gens du pays" à la suite de la bataille de Koblenz.Depuis des escadrons de cavalerie sous le commandement de ce même Colonel s'attribuèrent le nom et poursuivirent cette tradition en recrutant la majeur partis de leur troupes "sur place".De grès ou de force. L'origine de ce nom vient d'une part du rapport entre les capacités d'écoute et de discretion du chats, et d'autre parts de la superstition envers les chats de cette couleurs. En réalité ce nom leur fit attribué par leurs ennemis pour deux raisons.Premièrement parce que pour plus de discrétion ces hommes se recouvraient souvent le visage avec ce qu'ils pouvaient et ce l'obscurcissaient ainsi.D'autre part car leur présence était synonyme de "poisse" pour les troupes ennemis. En effet cela signifait pour eux l'arrivée imminante d'une pluie de boulet tiré par la batterie THOR. Hopitaux de Campagne:Il y a peu de chose à dire sur ces éléments pourtant très présent du régiment. Ils s'acquittèrent tout simplement de leurs tâches de façon remarquable pour tous les membres de la Windisch-Grätz Division. Un premier hopital de 100 hommes vit le jour durant la bataille de Koblenz. Un second apparut lors de la campagne de Belgique juste après la bataille de Hucklovenkuklacoph (excusez moi j'ai avalé de travers...plus sérieusement si quelqu'un à le nom ou la carte je suis preneur) faisant suite à la dissolution des chats noirs. |
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| Sujet: Re: Schwarze Wölfe Dim 19 Avr 2009 - 12:36 | |
| 3) Personnages principaux :
-Major Bartholomew Pardner :
Bartholomew Pardner était le premier Major qui dirigea la batterie du régiment. On lui doit de nombreux exploit, tel que des tirs sur des pont qu’il détruisit en une salve ou encore son incroyable ingéniosité lors de l’opération « Lahn ».Durant laquelle sa batterie, avec une très mince escorte, dut lutter contre une quantité incroyable d’ennemis. Elle fut d’une très grande efficacité tout en se préservant des coups de l’ennemi.
Bartholomew Pardner mourut lors de la bataille de Koblenz. Il lutta, l’épée à la main contre l’attaque de sa batterie. Les « chats noirs » arrivèrent trop tard, et si la batterie put être en partie sauvé, ce ne fut pas le cas de Pardner mort atteint de plusieurs balles.
-Major Olyver Blaxter :
Olyver Blaxter prit le commandement de la batterie à la fin de la bataille de Koblenz. Cet homme se distingua comme étant très réactif et très exigeant auprès de ces hommes. Lors de la progression jusqu’à Bruxelles il fut reconnus comme « capable de suivre une progression rapide tout en effectuant son devoir d’artilleur » par le Colonel d’Osttirol.
Le Major Blaxter fut tué lors de la bataille de Hucklov…(vraiment personne se souvient du nom ?^^) d’un éclat de boulet. Il dirigea tout de même sa dernière salve avant de mourir.
-Major Moses Blinman :
Cet officier prit la relève de Pardner et Blaxter.Il fut très discret et se contenta d’un travail « moyen » comparé aux deux hommes qui l’avait précédé. Lors de la dissolution du Regiment Blinman conserva le commandement de la batterie qui fut affecté ailleurs.
-Major Ed Postle :
Le Major Ed Postle fut en charge du premier hôpital de campagne. Il fit un travail remarquable et on dit que des milliers d’hommes lui devraient la vie. Il fut néanmoins tué d’une balle lors de la campagne de Belgique alors qu’il secourait un blessé sur une zone encore dangereuse.
-Major Flann Vickers :
Il fut affecté dans un premier temps au second hôpital de campagne. Mais lorsqu’il arriva au niveau du régiment il apprit la mort de Ed Postle quelques jours plus tôt. Il prit le commandement des deux hôpitaux de campagnes et fit un travail remarquable jusqu’à la dissolution du régiment. Il resta néanmoins dans l’ombre et peut connus au sein de son propre régiment.
-Major Raulf Mather:
Un homme remarquable de stratégie et une force de la nature. Il dirigea les Jäger du régiment durant toute la durée de leur existence. Ont dit que les « chats noirs » n’auraient jamais eu une telle réputation sans lui. Lorsqu’il apprit que les dirigeants avaient décidés que les chats noirs quittaient le régiment afin que celui-ci se spécialise dans le soutien. Il décida de se faire passer pour mort et rejoint l’Etat-major du Colonel Vladimir D’Osttirol en tant que stratège et membre de sa garde.
-Chef de pièce Triston Bonger :
Cet homme n’était pas « prédestiné » à devenir une figure du régiment. C’est pourtant durant cette période qu’il se fit remarquer. Il fut un simple artilleur jusqu’à la bataille de Koblenz. Là, son supérieur, le chef de la pièce, fut tué. C’est lui qui se chargea de l’organisation de plusieurs tirs tout en s’occupant du chargement de la pièce. Le Major Olyver Blaxter le promut chef de pièces.
Il servit efficacement pendant toute la campagne de Belgique et lors de la disparition de la batterie il rejoint l’Etat-major en tant que stratège. Mais ce n’était que le début de son ascension.
Dernière édition par Vladimir d'Osttirol le Dim 19 Avr 2009 - 19:41, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Schwarze Wölfe Dim 19 Avr 2009 - 15:58 | |
| 4) Faits d’arme marquants et stratégie :
-La bataille d’Alternkirchen :
Tout juste arrivé sur la zone de combats, le Colonel d’Osttirol décida de se déployer vers la ville d’Alternkirchen. Sur la route qui le menait au front, le jeune Colonel appris beaucoup de chose par divers messagers. Tout d’abord il venait d’être intégré dans la Windisch-grätz Division et il venait d’apprendre le nom effectif de son régiment (jusqu’alors baptisé 1er Régiment d’Artillerie).De plus il apprenait la situation : Les troupes Autrichienne venait de perdre Koblenz et se repliaient. Pour conclure il avait ordre de se positionner près d’Alternkirchen et de se préparer à repousser l’ennemi.
Le régiment longea la ville et d’Osttirol constata sur les plans qu’à l’Est de celle-ci on trouvait une forêt et… une colline. Le poste de tir idéal. C’est donc là que se déploya le Régiment. La batterie se mit en position au centre de la colline et les Jäger se placèrent au bout de celle-ci.
Déjà les couleurs Autrichienne apparaissaient à l’horizon. Ces troupes en déroutes étaient suivit de la Grande Armée. Enfin D’Osttirol allait affronter ces ennemis dont il avait tant entendus parler.
Les Batteries étaient déjà fin prêtes à ouvrir le feu et à recharger dans les plus brefs délais.
Quand les troupes ennemies furent à porter c’est sans un soupçon d’hésitation que le Colonel ordonna de faire feu. Après quelques tirs d’Osttirol put constater une première chose, dans sa longue-vue, qui le rassurait. Ses artilleurs étaient bons, très bons. Presque chaque tir faisait mouches creusant des trous dans ces longues lignes d’hommes. Et les tirs se succédèrent ainsi inlassablement.
Les canons étaient brulant, plus les tirs se succédaient plus on frôlait l’accident à chaque rechargement. Les brulures, les explosions prématurées de poudre n’étaient pas loin. La fatigue également poussait à la faute. Il y avait peu de vent malheureusement, alors la fumée restait presque sur place. Dans les ténèbres les hommes avait recouvert leurs visages de mouchoir ou de tissus de toutes sortes. A travers cela ils braillaient. L’ambiance devenait de plus en plus lugubre.La situation commençait à dépasser Vladimir, il en était conscient. Ses hommes étaient toujours efficaces mais l’ennemi avançait, inlassablement, comme sans limite.
Mais les faits étaient là, malgré toutes leurs réussites les hommes de Vladimir étaient seuls, ou presque à tenir cette colline. L’ennemis en était sans doute conscient lui aussi maintenant. Seul un bataillon de grenadier épaulait le régiment. Alors les troupes ennemies avançaient et bientôt les Jäger se mirent à tirer. Et un grand nombre de salve plus tard, les Jäger se repliaient vers la batterie.
La tension était palpable dans l’Etat-major. Sans doute certains espéraient entendre un ordre de replis, mais ce n’était pas là la volonté de Vladimir qui souhaitait avant tout tenir cette position coûte que coûte pour permettre au reste de l’armée de retourner la situation.
Alors il fit un signe de la tête au commandant de la garde et celui-ci ordonna aux 20 membres de la « Garde de l’Etat-major » de se placer sur un flanc de la batterie. Les 20 membres de la garde étaient des grenadiers d’élites qui servaient pour protéger les État-major comme celui de Vladimir. Mais il fallait mieux que ça pour avoir une chance.25 autres membres de l’État-major, hommes à tout faire, monteur de tente, messagers et autres furent équipés de fusil et se placèrent sur l’autre flanc de la batterie.
L’ennemi gravissait la colline.
Les Jäger étaient au niveau de l’artillerie maintenant, alors que les grenadiers d’un autre régiment lançaient une charge désespérée. Vladimir ordonna d’équiper les 5 derniers membres de l’Etat-major, c'est-à-dire les quatre stratèges et….lui même.
Les stratèges prirent une paires de pistolets et un sabres chacun. Vladimir prit deux paires de pistolets et son sabre. Il restait 10 fusils non utilisés. Cela faisait deux fusils par personne.
La Mitraille avait été chargée dans les canons, les Jäger avaient formés un semblant de ligne et se mirent en joue tout comme les membres de l’Etat-major.
En face plusieurs bataillons de fusiliers, grenadiers et voltigeurs. Plusieurs milliers d’hommes en fait.
Les Jäger ouvrirent le feu. Quelques hommes dans cette masse tombèrent. Vladimir hurla quelque chose d’incompréhensible. Les « hommes masqué» envoyèrent la mitraille. Encore plus d’hommes aux sols…toujours plus d’hommes debout .Alors les Jäger chargèrent et lorsque les ennemis arrivèrent au niveau de la batterie tous se battirent.
Vladimir décrocha un tir, il jeta son fusil par terre, épaula le second et fit de même. En tirant dans le tas il était sur de toucher quelque chose. Il dégaina ses pistolet deux par deux et les vida à tour de rôles avant de les jeter. Pour conclure il dégaina son sabre et se rua sur l’ennemi au milieu de toutes cette poussière. Il frappa quelques hommes, des ennemis, du moins il l’espérait. Il approcha d’un homme qui sembla sortir un objet de sa ceinture, qu’il pointa vers Vladimir. Et tout s’arrêta là.
pfff désolé si il y a des fautes mais là chaud de me relire.
Dernière édition par Vladimir d'Osttirol le Dim 19 Avr 2009 - 19:44, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Schwarze Wölfe Dim 19 Avr 2009 - 17:53 | |
| -La bataille de la Lahn :
Lorsque Vladimir reprit connaissance il était à Siegen. Beaucoup de chose avait changé. Sa batterie avait été reconstitué avec très peu d’artilleurs nouveau puisque la plupart s’en était sortit vivant. C’était également le cas de ses stratèges (qu’il soupçonnait d’avoir fait preuve d’une certaine couardise) mais pas du reste de son Etat-major entièrement reconstitué et du bataillon de Jäger. Car si le Major était toujours là, seul un très faible parti des soldats d’origines était vivant. Le reste avait été recruté sur place, des gens de Siegen motivé. Lui aussi avait changé, un cratère avait fait son apparition sur sa poitrine. Preuve de l’impact de la balle dont le choc l’avait assommé.
Le Régiment avait reçu ordre de se diriger vers Giessen et d’y rencontrer trois autre régiment dirigé par les Colonels Baron Duka(qui dirigeais le groupe), Cugel Atine et Asrovak Mikosevar. C’est en réalité un peu avant la ville qu’il rejoignit le groupe et ils traversèrent Giessen sans encombre, car la ville était sous contrôle Prusse depuis quelques temps.
C’est par la suite que tout devint plus compliqué. Le groupe devait longer la Lahn jusqu’à Koblenz pour prendre les troupes sur place à revers.
Mais les éclaireurs eurent vite faits d’annoncer des troupes françaises et belges un peu partout autour d’eux. Les régiments se resserrèrent et très vite la situation se trouva sans autre issue que le combat. Alors que les troupes de ses collègues se déployait pour former un demi-cercle infranchissable, Vladimir déploya sa batterie et ses Jäger en soutien. L’affrontement fut terrible. La quantité d’homme était une fois de plus à l’avantage de l’ennemi. La batterie THOR tonnait sans cesse et les coups de feu pleuvaient. Vladimir s’attendait presque à devoir prendre de nouveau part au combat lui même. Une autre mauvaise nouvelle tomba alors, un pont venait d’être construit et il représentait une menace pour le front autrichien tout entier. L’ordre de le détruire fut donner à d’Osttirol.
C’est une course contre la montre qui se déclencha alors. Les instants de la batterie était compté si elle ne se repliait pas. Mais elle devait d’abord détruire ce pont. Le Major Pardner tenta une salve. Par chance celle-ci, en plus de percer des trous dans le pont, atteint sa structure et détruisit un des pilonnes qui le retenait. La construction de fortune s’effondra alors rapidement. La batterie se replia alors.
Ce succès était bien mince. Le front Autrichien était sauvé mais ce n’était pas le cas du groupe de la Lahn. Un dernier espoir subsistait tout de même. Une rumeur annonçait depuis quelques temps déjà que l’Angleterre prenait part au conflit. Un messager vint annonçer que les troupes Anglaises était bien là et qu’elle allait justement franchir la Lahn à ce point précis.
Pendant une longue nuit les artilleurs et fantassins s’en donnèrent à cœur joie sur des ennemis toujours plus nombreux. Mais au matin le Corps Anglais traversa la Lahn après avoir construit un pont à quelques lieux de celui qui avait été détruit. Une fois toute l’attention de l’ennemi porté sur les Anglais, le groupe de la Lahn put continuer sa route en longeant l’interminable Ligne Anglaise. |
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| Sujet: Re: Schwarze Wölfe Dim 19 Avr 2009 - 18:20 | |
| -La prise de Koblenz :
Une fois au sud de Koblenz le groupe de la Lahn entreprit l’assaut de la ville. Les troupes Autrichienne au nord avait déjà bien entamé la capture de celle-ci. L’assaut du groupe de la Lahn mis un terme à la résistance de la Grande Armée dans ce secteur en partie grâce à l’appui de l’artillerie qui ensevelis beaucoup de troupes ennemis. Mais les troupes ennemis ne renonçaient pas et c’est plein de confiance que le petit groupe pris la décision d’aller au contact de l’ennemi, persuadé d’être suivit par une armada d’allié. Si la prise de Koblenz avait été facile, sa défense fut une catastrophe qui apprendra à d’Osttirol de ne jamais rien tenir comme acquis. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Schwarze Wölfe Dim 19 Avr 2009 - 18:54 | |
| -La défense de Koblenz :
Le groupe de la Lahn progressa vers Simmern confiant. Il arriva jusqu’au abord de la ville et commença l’assaut alors que quelques Anglais attaquaient également par l’ouest. Pourtant un problème énorme se présentait, mais qui ne fut remarqué que trop tard par le groupe. Aucune troupe ne les avaient suivit. Et lorsque l’armée Franco-belge les attaqua il était trop tard.
En même temps que la progression des ennemis ils apprirent que les rues de Koblenz étaient peu praticable à cause des nombreux pilonnages, des suites de plusieurs batailles et des barricades érigés un peu partout. Les troupes autrichiennes étaient bloquées dans la ville. C’est à la vas vite que le groupe se replia vers l’endroit le plus étroit de la plaine. Le seul endroit où ils pourraient contenir une telle armée, quelques temps du moins. D’autre part le reste des troupes à l’ouest de la ville ne parvenait pas à les soutenir. Leurs sapeurs ne pouvaient construire de pont et celui battis par la Grande Armée avait été détruit par la batterie THOR lors de l’assaut de Koblenz.
Tout allait le plus mal possible. Les Chats Noirs, en première ligne, périrent par centaines. La batterie THOR fut prise d’assaut et les pièces abandonné par les rares survivants, le Major Pardner n’était pas de ceux-là.
L’Etat-major se replia en désordre. Mais lorsque tout semblait perdus les troupes alliés arrivèrent enfin de toutes parts et la progression repris aussitôt. Bientôt Simmern fut prise.
Le Régiment d’Osttirol ne fut pas parmi les premières lignes progressant le sourire aux lèvres. Non, une fois de plus ce régiment pansait ses plaies à l’arrière et suivait la cadence infernale comme il le pouvait. |
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| Sujet: Re: Schwarze Wölfe | |
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