Mainz II: la fin de la triple invincibilité.

Suite à la débâcle de la Grande Armée en Belgique, un conseil des sages
se tint, il y avait là tout les généraux de la Grande Armée et les
colonels ayant participé aux plus anciennes batailles, celle où la
Grande Armée avait réussi à vaincre le coté obscur: la coalition.
Le conseil nomma marmont général en chef des armées, il eut comme rôle
complexe de réformer la Grande Armée, ce qu'il fit: fusion de corps,
nouvelles doctrines militaires,...

Une nouvelle bataille commença, tout prédisait une nouvelle défaite de
la GA, les scénarios d'une nouvelle destruction totale de la GA
commençait à ressurgir dans les cauchemars de la plupart des colonels
de la GA lorsque les Prussiens détruisirent sans problème 2 divisions
Belge au nord, ces réformes n'ont donc servi à rien? Le plan de la Ga
était simple, on avance au sud, et on se défends au nord, les
Belgos-Polonais au nord, composé de 40.000 hommes faisaient face au
redoutable corps Prussien, fort de 50.000 hommes.
Les Prussiens ne pouvaient que gagner. Et pour se donner de l'espoir,
les colonels Belges et Polonais regardèrent au sud, dans l'espoir de
voir une avancée Française. Cette avancée ce fit sans trop de problème,
mais lentement, très lentement, trop lentement. Les Prussiens allaient
plus vite.
Tout était donc déjà joué dès les premiers engagements? Les divisions
Polonaise et une autre Belge protégèrent Kassel, comme si cette ville
tenait tout. Au sud de l'Elder, la situation était plus délicate: les 2
divisions Belges s'étaient repliées l'une derrière un marais et l'autre
plus au sud se tenait autour de Schwalmstadt.
Tout semblait être contre la Grande Armée sur ce front nord, la
bataille semblait déjà jouée, les officiers commencèrent à désespérer.
La Grande Armée serait-elle maudite? Condamnée à ne jamais gagné de
bataille?

Et là, le miracle s'accomplit, les forces obscures étaient vaincue, un
éclair déchira une dernière fois le ciel, les nuages noirs des forces
obscures de la coalition créés de toutes pièce par la sorcellerie
d'argna se dissipèrent, sous l'effet de la magie de mithrandir. Chose
incroyable, l'avancée reprit au nord. Le soleil était de retour, la
sorcellerie d'argna ne pouvait plus rien. Une colombe blanche passa
dans le ciel, les hommes de la Grande Armée crièrent à la victoire.
La victoire était complète, s'en était finit de l'invincibilité de la coalition.
Du haut de sa tour noir, argna ragea en regardant son idole:
l'undertaker. Argna aurait tant voulu, comme lui être invaincu 17 fois,
peut-être même plus.

A Mainz, le conseil des sages s'étaient à nouveau rassemblé. Tout le
monde jubilait, mais les sages restaient impassibles, ils calmèrent
l'ardeur des plus jeunes en leurs disant simplement que la coalition
était toujours vainqueur, ils avaient gagné 3 batailles (Transylvanie,
MainzI, Belgique) contre deux pour la GA (Iena, MainzII), pour calmer
définitivement les ardeurs de la coalition, il faudra encore vaincre
une fois la coalition, et pour montrer la supériorité de la Grande
Armée, il faudra vaincre une seconde fois la coalition.

Rien n'est joué. Le conseil s'envola pour une direction connue: l'ouest.