Bella detesta matribus

Après quelques mois de rude campagne contre les forces coalisées, Arianosky avait besoin de repos ! En effet ces long mois passés dans les plateaux forestiers de l’Europe à repousser sans cesse les forces coalisées avides de sang et de gloire avait rudement aguerrit Arianosky.

La au milieu des dangers et des embuscades il avait su rester comme à son ordinaire, stoic devant le danger, il avait su garder confiance en lui et en ses troupes qu’il appelait ses frères…

La campagne venant de finir avec la victoire de la Grande Armée menait comme il se doit par notre Empereur, avait réussit a mettre de l’entrain et du baume au cœur des soldats les plus récalcitrant à la manœuvre et aux combats.

Aussi voulant profitez du congé qui lui fut donné après la victoire, il décida de regagner sa Silésie natale ou l’attendait sa famille et la ville de Tesin servirait de garnison à son régiment.

Sur place depuis environs 2 mois, il passait se journées à rédiger ses mémoires et a parfaire la discipline, la manœuvre et la comptabilité du régiment qui au cours de la précédente campagne avait fort souffert.

Un soir en refaisant la liste des événements passés dans les plateaux forestiers, se souvenant que son général était l’illustre Prince Poniatowsky et il se souvenait de deux frères d’armes, des français du nom de Gallet et Lafayette.

Que de dangers partagés au milieu d’eux. Il était toujours un peu entrain à la mélancolie. Voyant l’heure s’avançant et le sommeil le gagnant profondément, il partit ce coucher.

Le lendemain matin, Arianosky reçut par le biais de l’aide de camp du général Dombrowksi une missive lui disant que de part sa conduite et son audace durant la dernière campagne, celui-ci se voyait nommé général de division pour la célèbre Légion de la Vistule.
Arianosky posa sa pipe, l’aide de camp lui donna une autre missive celle-ci stipulait que les forces coalisées avaient une fois de plus déclarée la guerre à la France et donc à ses alliés.

Arianosky congédia l’aide de camp et prépara son régiment pour leur nouvelle destination qui devait recevoir d’ici peu par un pli confidentiel …