Der 28.Inf.Rgt

Du coté de Vilshofen

Sacrebleu, crénon d un chien se fit entendre dans le bivouac. C etait l aube, la brume etait encore présente sur la plaine et entourée d un halo opaque le 28.Inf.Rgt qui bivouaqué.

Ces injures provenaient de la tente du colonel Von Thierry, aristocrate possedant de nombreuses terres et fiefs en Boheme. Celui-ci, venait de recevoir une missive qu une estafette de la Schwarzenberg division venait de lui donner. Elle stipulait que la ville de Vilshofen venait d etre reprise par les francais et qu il s agissait de surcroit de bavarois !

Von Thierry sortit de sa tente pour se diriger en direction du Grenadier.Batalion qui etait a 100 metres de la. En arrivant dans l espace reservé a ce bataillon il entendit ceci :

Crenon Karl, qu est ce qu on se les gele dans ce trou ! Pourquoi diable ce foutu colonel nous a t il ammené ici ? Quand je pense que nous etions si bien dans notre garnison a Prague, la chaleur, les filles et le repos ...

Venant a peine de finir sa phrase, le grenadiers vit que son ami Karl etait pale comme un mort et au garde a vous. Le grenadier se tourna et manqua de tomber a la renverse dans le feu !

Von Thierry etait la, il avait tout entendu ... Il dévisagea le grenadier et d un ton glacial lui dit

Grenadier, vous viendrez vous presenter ce soir a mes quartiers et nous reparlerons de votre petite conversation, pour l heure aller rejoindre votre compagnie avant que je ne vous fasse fusiller.

Le colonel retenait sa colere et pensait : comment peut il avoir l impudence de vociferer de tel propos a mon encontre alors que j ai sauvé la vie a ses parents il y a bien longtemps ?

Le colonel toujours dans ses pensées alla voir le major Heim, commandant le Grenadier.Batalion, il s entreteint quelques minutes avec lui puis partit a la rencontre des autres majors des 2 bataillons d infanterie et de l artillerie régimentaire leurs donner ses ordres.

Une heure apres, tout le regiment fut sous les armes et pret a partir. Le colonel passa devant ses troupes sur son cheval et leur annonca

Messieurs, nous nous mettons en route afin d aller reprendre la ville de Vilshofen que ces mecreants de bavarois ont investit pendant la nuit.

Les bataillons sur l ordre du colonel se mirent en route ainsi que l artillerie regimentaire en direction du nord est pour rejoindre la ville de Vilshofen.

Chemin faisant, l avant garde du régiment vit un bataillon bavarois sortir au pad acceleré de la ville en direction de l est. Malgré une marche forcée et les quelques coups de canon donnés dans la direction du bataillon bavarois, l avant garde ne pu accroché le bataillon ennemi.

L avant garde rentra dans Vilshofen ... Ceux-ci ressurent quelques coups de feu qui heuresement ne toucherent personne. Von Thierry ainsi que le Grenadier.Batalion entra en ville. L artillerie ce placa de facon a prendre les deux ponts de la ville en enfilade afin de prévenir toute attaque de l ennemi. Le 2e.Inf.Batalion se placa quand a lui dans les alentours de la ville.

Von Thierry loga dans la superbe maison du connétable de la ville. Celui ci refusa dans un premier temps mais apres l avoir jeter dans la riviere le colonel pu a son aise prendre place dans son nouveau quartier.

Le soir venu, il fit introduire le grenadier et lui passa une forte réprimande, celui-ci en sortant de la maison etait tout blanc ! Il venait de ce voir punir de 2 jours de garde forcée seul sur le pont Est de la ville.

Durant les 2 jours que resta le 28e.Inf.Rgt, chaque bataillon assura a tour de role la garde des ponts et de la ville. Pendant ces 2 jours, les soldats furent passé en revu et recu leurs arriéré de solde.

Les habitants tres hostiles a l armée autrichienne tenta de se révolter. Ils tuerent le grenadier en faction sur le pont Est ainsi que 4 autres fusiliers. Von Thierry mata la révolte. Il fit charger les emeutiers. Les meneurs furent pendus et leurs maisons livrée au pillage et a l incendie.

Au bout de 2 jours, Von Thierry recu par le biai d un aide de camps une missive du général Mikosevar l ordre de se diriger vers une nouvelle destination ou son régiment et lui devait "donner" ...

Defense de Pfarrkirschen

Cet ordre donné par le Général Mikosevar enjoigné le colonel Von Thierry de ce porter de toute urgence sur la ville de Pfarrkirschen pour la déféndre de l avancée des perfides bavarois.

Apres une marche rapide, le colonel Von Thierry pu arriver a temps dans la ville et rallier a lui le colonel Von Frakas afin de preparer la défense de la ville.

Durant la premiere offensive, le 1er bataillon de ligne du 28 Inf.Rgt avait ouvert le feu sur le bataillon du Major Hellanger sous les ordres de Michel D´Avergny. Il lui enleva a peut pres 80 ou 100 hommes puis retrograda dans la ville.

La batterie de position du colonel Von Thierry avait elle aussi durant la premiere phase de l offensive ouvert le feu sur ce bataillon, elle lui enleva egalement 89 ou 90 hommes.

Durant la deuxieme phase de l offensive bavaroise, le 2e bataillon du 28 Inf.Rgt avait ouvert le feu et bien maltraitée le bataillon Dupuis ainsi que le 1er Grenadier de Marmont.

La batterie de position elle aussi avait bien arroser le bataillon du 1er Grenadier de Marmont.

Le 1er bataillon quand a lui fut bien heureux de pouvoir de nouveau maltraiter le bataillon du Major Hellanger ainsi que le bataillon de 1er Grenadier de Marmont.

Von Thierry heureux du sort de la bataille loua aupres de son general le courage et l activité de son bataillon de grenadier qui detruisit le bataillon du regiment Oberschaffen ainsi que le 1er Grenadier de Marmont.

Durant cette bataille, le colonel deplora la perte de sa batterie qui lui fut arraché par le 1er Grenadier de Marmont et la capture d une partie de ses bagages et de ses equipages par le bataillon du Major Hellanger.

A la fin de la bataille, Von Thierry envoya une estafette au general lui annoncant que les bavarois rompaient le combat et partaient en retraite ...

En route pour la Gloire





En ce début de matinée, le colonel Von Thierry prépara comme à son habitude ses papiers de comptabilités ainsi que ses papiers personnels concernant les affaires de famille qu'il a du laisser dans son château en Bohème.



En effet Von Thierry est un riche aristocrate de Bohème ou il possède de nombreuses bourgades ainsi que de nombreuses forets.



Ayant reçut il y a 3 mois de cela une missive de l'Etat Major lui enjoignant de ce rendre au plus vite avec son régiment en Italie, celui ci n'eut que peu le temps de s'occuper de ses domaines.



Heureusement sa femme etant là pour l'aider elle a put faire une petite part.



Après avoir pourvu a tout les besoins de ses hommes, Von Thierry se mit en route vers l'Italie.

Arrivé sur place, il rejoignit sa division et alla se présenter au général l'a commandant en attendant les ordres ...

Armand faisant les cents pas au bivouac attendit l'ordre de marche !

Tout d'un coup, un aide de camp arriva completement crotté de Moravie ou le colonel avait son chateau, celui ci venait de lui apprendre que sa femme venait de mettre au monde un fils en plus le jour de son entrée en campagne !

"Mon Colonel, voila une bien réjouissante nouvelle ! " dit l'un des chefs de bataillons présent !

"En effet Major, en effet voila de quoi ce réjouir !"

Armand fit convoquer tout les chefs de bataillons afin de trinquer avec eux et de donner ordres pour que le régiment se mette en marche !

Irlande

Le colonel Armand Von Thierry après avoir donner de sa personne dans l'éducation des cadets de la KriegAkademie se vit transféré par son chef de corps au sein de la Nation suédoise.

Celui ci se trouve dans le corps de la Svenska Sjuksköterska Armekår, division Svenska Kunglig Division.

Le colonel Von Thierry après une permission bien méritée sur ses terres en Bohème et après s'être reposé dans son domaine revint sur le front afin de faire régner la suprématie alliés.

Son fils étant à l'académie de la guerre à Vienne lui envoya une missive dans l'optique de découvrir les véritables buts de la guerre ici présente.

Von Thierry lui répondit en ces termes

Citation :

Mon cher enfant,

Le désarmement de l'adversaire est le but de la guerre abstraite mais n'arrive pas toujours dans la réalité. Deux objectifs moindres peuvent le remplacer pour aboutir à la paix. Ces méthodes de coercition consistent à faire sentir à l'ennemi :

- l'improbabilité du succès :

. par la destruction des ses forces, soit en vue de l'anéantir, soit pour faire sentir notre supériorité;
. par la conquête de ses provinces, soit pour le priverde ressources, soit pour négocier;
. par la politique, en agissant sur le système des alliances;

- le prix excessif du succès :

. par l'usure de ses forces;
. par la perte de ses provinces;
. par l'invasion pour y lever des impôts ou les dévaster;
. en visant les points les plus vulnérables de son territoire; cette stratégie punitive a un côté plus politique;
. par un épuisement graduel de ses forces physiques et de sa volonté au moyen de la durée de l'action. Mais il faut alors choisir un objectif très limité.


Vois tu mon enfant, la simple résistance, souvent utilisée par le faible contre le fort, consistant à détruire sans intention positive un volume de forces de l'ennemi tel que celui-ci devra renoncer à son dessein, est efficace dans la durée mais ne saurait aller jusqu'à la passivité absolue. Retiens ces leçons et tu seras un jour un grand officier mon enfant.