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| Sujet: Echanges Epistolaire Lun 28 Juin 2010 - 19:00 | |
| (HRP : tout ceci n'est qu'un jeu afin d'animer les débats. Je n'ai rien contre le joueur ni contre son colonel, mais il faut bien animer cette fin de carte. C'est à ton tour après général dulac ^^. Ceci dit pour qu'il n'y ai pas de quiproquo et que les admin nous laissent faire )
Ici est rapporté l'échange épistolaire entre deux hommes qui ne trouvèrent mieux qu'un prétexte de préséance au feu pour meubler avec leur plume le train et l'ennuie du tir au pigeon sur des Autrichiens qui attendent que l'arbitre siffle la fin du match
Dernière édition par Ombre le Mar 5 Avr 2011 - 19:32, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: Echanges Epistolaire Lun 28 Juin 2010 - 19:10 | |
| - Citation :
Colonel E
Pour l'echelle Monsieur j'attends une réponse, faute de quoi nous nous retrouverons sur le près, vous pouvez dire à celui de qui vous tenez vos ordres que ce sera son tour après que vous fussiez au mieux allé à l'ambulance
- Citation :
Général
Vos propos sont abscons. Peut etre sous l'emprise de l'alcool ou de substances illicites, ce qui m'étonne de la part d'un officier superieur. Déjà commencez par orthographier mon nom de façon convenable, on va finir par penser que j'ai obtenu ce poste de chef de corps par note de gueule ou par piston. Non mais vraiment votre message est incompréhensible... Hysterie, syphilis...les deux?
- Citation :
Colonel E
je vois colonel que vous connaissez bien la questions des maladie salaces et des drogues au point où l'on se demande si vous n'êtes pas en train de parler de vous. Vous savez clairement de quoi je parle, mon rendez-vous sur le près est donc plus que jamais d'actualité
- Citation :
Général
Puisque vous etes impatient d'en découdre monsieur le générâle... Et étant l'offensé puisque je n'ai toujours pas reussi à déchiffrer votre syntaxe, je choisi l'arquebuse, elle correspond tout à fait à l'époque ou vous évoluez psychorigidement! Il va falloir que vous tombiez votre chemise en dentelle de petit marquis pour venir affronter un roturier de mon espece! Nous autres anciens de l'an II, n'accordons que peu de valeurs aux titres a rallonges et aux commandement achetés avec les charges. Prenez garde à ne pas finir à la lanterne
- Citation :
Colonel,
Il me semble que le fait d'utiliser des termes trop en avance sur votre époque vous trouble l'esprit, car voyez vous n'ayant point émigré, j'ai servit la république et en l'an II je commandais une compagnie après que engagé comme simple soldat j'ai été élevé à ce rang par le vote de mes hommes.
Vous aurez sans doute pu voir quant les brumes de votre alcoolémie vous laisse entrevoir quelque chose d'autres qu'un paysage vacillant, que je n'ai jamais usé d'aucun titre que ce soit, ni même avoir fait valoir à aucun moment un quelconque fait concernant ma carrière.
Vous ne pouvez choisir aucune armes autre que celle que moi je choisit puisque par votre action vous m'avez offensé, c'est donc à moi de choisir. Cependant et pour vous montrer que je puis accéder aux désir d'un rustre, je veux bien que nous prenions l'arquebuse, alors que j'avais choisit le sabre.
Cela démontre que contrairement à vous je n'abdique pas l'honneur d'être une cible et ne craint pas le combat rapproché, ce que votre choix laisse penser.
Enfin et pour en terminer vous dites clairement, voyez vous moi je fais l'effort de comprendre les propos que vous éructez, que vous vous battez pour l'honneur et moi pour l'argent. c'est vrai, car voyez vous chacun se bat pour ce qu'il ne possède pas.
- Citation :
Monsieur le général,
Vous avez bien de la chance que nous n'aillons pas appartenu à la même demi brigade. Vous auriez été mon chef direct, je vous aurai fait fusilier séance tenante sur la ligne de front par mes hommes. Le fait que vous ayez garder la particule et que vous affirmiez que vous vous battez pour l'honneur prouve bien que vous avez conservé une mentalité de l'ancien régime. Vous vous prétendez offensé? Trés bien! Vous voulez combattre au sabre? Encore mieux! Ce n'est pas mon arme de prédilection, la seule arme blanche qui vaille est la pique et je pense que vous ne l'avez jamais utilisé... Mais trêve de discutions, je vous laisse choisir un arbitre et reste à votre disposition pour en découdre. Vous ne serez pas déçu, en Lozère on a le cuir épais et la main lourde.
- Citation :
Colonel, pardon, Feu le Colonel E,
Décidément vous nous désolez à chaque instant un peu plus....vous êtes Lozérien et cela est bien dommage car chez ce peuple splendide la force de caractère et l'intelligence semblait jusque la prévaloir.
et oui originaire du Tarn dans ce que ce département compte de plus montagneux j'ai eu maintes occasions de m'arrêter chez des amis tant en Aveyron qui nous sépare qu'en Lozère ou en Ardèche pour y visiter des cousins et ce n'est pas sans émotions que je prenais plaisir à m'arrêter à Chateauneuf de Randon où il fut mis fin à la vie de ce routier sans vergogne que fut du Gesclin; mais sans doute ne connaissez vous pas les de Grimoard ou les de Chaulhac.
J'y compte toujours un ami en la personne de Jean Antoine Chaptal qui viens juste de quitter son poste de Ministre de l'Intérieur auprès de l'Empereur.
Je comprends bien que l'honneur soit si éloigné de votre conception de la vie, vous faites en cela exception parmi les vôtres, pièce rapporté sans doutes car voyez vous il y a du Tarn à L'Ardèche chez ce peuple de montagnards burinés par le temps et qui parait parfois aussi solide que le granit de ses terres , une vrai conception de l'honneur et de l'entraide qui vous fait à vous tant défaut.
Ne vous vantez donc point d'un cuir que vous croyez résistant ni d'une main qui, comme ce qui habite, peut-être votre crane, n'a de lourd que la bêtise qui l'habite sans que, contrairement à nombre de Lozérien de ma connaissance n'y souffle le moindre esprit.
Ce sera donc votre épitaphe "ci-git un crane vide dans lequel soufflait plus de vent que d'esprit"
- Citation :
Monsieur
Vous avez le verbe haut et portez beau en base arrière, mais je vous le redis encore une fois, cela ne vous empêchera pas de finir "haut et court"..
Je n'ai pas votre pedigree ni de puissantes relations pour m'appuyer lorsque le sort de ma carrière est sur la sellette. Enfin cela explique l'incompétence notoire dans laquelle vous vous vautrez avec complaisance. Je vous pardonne votre ignorance sur la Lozère et vos généralités sur ses habitants. Nous ne fréquentons pas le même monde. Lorsque vous parlez de châteaux, minauderies et fanfreluches moi c'est de labourage et de pâturage que je vous réponds. C'est à le sueur de mon front et à la patience de mon instituteur, Mr Salan, curieusement originaire du Tarn lui aussi, que je dois de pouvoir vous écrire dans un français a peu pres correct. Mon esprit est lourd, je le reconnais volontier, mais votre carcasse ne vaudra pas mieux lorsque je la pousserai du pied vers la fosse commune.
Je vous attends...
- Citation :
Colonel,
Voila qui est mieux voyez vous vous commencez à écrire presque sans faute, je reconnais bien la travail d'un des miens. Pour ce qui est de ma carrière, je le dis à nouveau, mais il est vrai que pour vous une idée chasse l'autre, je fus simple soldat et ne le dois qu'à mon talent.
Pour ce qui est de la base arrière il se trouve que comme preuve à votre pauvreté d'esprit comme de langage vous vous trouvez derrière moi en compagnie de mon camarade Desvigne. Qui donc assure ses arrière ?
Labourage et pâturage ? bien je vois que l'on vous a aussi appris un peu d' Histoire et ce fameux propos du Duc de Sully... comme quoi voyez vous l'on peut être Duc et savoir ce que c'est que la terre.
Sur ce sujet d'ailleurs je pourrais vous démontrer que je sais manier la charrue comme le meilleur des métayers, et j'y aurai de bien meilleurs résultats que vous, et oui on laboure mal avec une pique qui semble vous servir d'outil en tout.
Vous connaissez donc si mal votre pays que vous parliez de fanfreluches et de minauderies, moi j'ai souvenance de soirée avec les métayers et leurs femmes tandis que je luttai pied à pied avec leurs garçons et je m'enorgueillis qu'ils m'aient si bien formé que je sois devenu un combattant honnête.
Nos terres sont trop dures pour que le seigneur joue au Monsieur et plus du fois les gens de ma famille ont poussé une charrue aux côtés des paysans. Ce principe a fait que lorsque les représentants du peuple parisiens nous ont cherché noise même ceux qui n'étaient point de nos amis ou ne vivaient pas sur les terres que la chance nous a confiée voila un millénaire, se sont ensemble mis entre ma famille et eux.
Cela n'est pas du à la peur mais au respect qui était aussi grand que celui que j'ai pour ces hommes de la terre dont je suis issus ce dont je tire fierté. Quant la famine poussait une tête pleine de dents affreuses, nous donnions le grain mis de côté à cet effet, nos terres n'ont jamais fournis de cerf pour les seigneurs, la chasse était un moyen de nous réunir et tout était partagé non point en fonction d'une qualité mais des besoins de chacun et mon percepteur faisait la classe avec le curé à tous les enfants, pas en particulier.
c'est cette noblesse du cœur et de l'esprit qui m'a fait général pas les privauté. Je ne dois point mon rang à une quelconque pique agité, à une terreur répandue où à quelques méfaits et jugement arbitraire propres aux tribunaux d'exception dont vous vous gargarisez.
Mais peut-être avez vous, cependant, des circonstances atténuantes, car le bêtise s'allie avec la force et le nombre et je suis étonné que vous puissiez écrire si longuement car de l'esprit vous n'avez en tout et pour tout que ce que contient le mot SOT.
Pour vous point de fosse commune je m'y engage, vous aurez la votre particulière car ayant pleinement fait suer les vivants il ne me plais pas que vous pussiez encore le faire avec les mort.
- Citation :
- Monsieur,
J'omets volontairement votre grade dans l'armée française car il n'a pas lieu d'être. Vous seriez plus à votre aise à tenter de diriger les troupes de mercenaires à la soldes de vos cousins emplumés. L'armée de la Nation n'a pas réussi à se débarrasser de tous les corbeaux de votre espèce, ceux dont le ramage se rapporte à leur plumage. Et c'est pas faute d'avoir essayée. A vous entendre causer, vous avez passé plus de temps dans les prétoires avec les empoudrés et autres pérruqués que sur les champs de batailles. Vos descriptions de la vie sur "vos" terres, avec "vos" métayers m'a bien fait rigolé, moi et mes "croquants". Les gentils saigneurs que voilà! Ou avez vous été pêcher ça? Dans un livre de Rousseau? Dois je vous appeler Emile? C'est beau et touchant.... Vous avez récupéré la plaidoirie de Louis Capet ma parole! Les seigneurs en Lozère on s'en est débarrassé...Je n'entrerai pas dans le détail, mais outre la pique, je sais me servir du chanvre et de la faux. Pas de fusil pour l'armée du peuple. Vous m'appelez sot! Fort bien et vous avez raison. C'est avec des sots comme moi que nous avons sorti de France des traitres à la Patrie comme vous! La noblesse de cœur ou de cou, sous le massicot, ça ne fait pas de différence. Les nobliaux de votre acabit je sais comment les traiter et sa fini toujours de la même façon. Chaque cochon aura sa St Valentin!
- Citation :
- Monsieur,
Comme vous ne les savez pas, je précise que le titre de monsieur ne saurez vous convenir étant la contraction de Monseigneur, vous eussiez pu l'être de cœur ou d'âme, mais point de cela en vous. Par ailleurs, le mauvais alcool et le sentiment que ma plume et mes arguments sont supérieurs aux vôtres commencent à vous faire écrire comme le pire des ânes, animal qui par ailleurs vous surpasse, en effet il a son utilité, lui.
Vous apprendrez que l'on écrit j'omets plutôt que j'omai, preuve que la culture est encore en friche chez vous et que vous ne pouvez plus nous faire accroire à vos origines paysannes , car jamais un paysan n'aurai laissé ce terrain la en friche comme vous le faites.
Pour avoir fréquenté les prétoires, il eu fallut que j'y plaide, que j'y traine quelqu'un où que l'on m'y pousse, mais contrairement à vous habitué des tribunaux de salut public dont le seul but était pour des gens comme vous de s'accaparer par le mensonge et la vilénie des biens d'autrui, je n'ai jamais eu à aller au prétoire.
Vous ne ferez pas exception car pour vous deux pieds du meilleur acier de Klingental, des frères Coulaux seront suffisants.
Vous souhaitez une fêtes amoureuses aux animaux qui vous tiennent chaud durant la nuit, voila un élan du c?ur qui vous honore prenez garde pourtant que les remugles qui émanent de la bauges dans laquelle vous affectionnez de vous complaire n'offense leur odorat pourtant peu délicat et que ce faisant il prennent soin de vous montrer qu'ils sont, eux aussi omnivores.
Dernière édition par Ombre le Mer 4 Avr 2012 - 16:16, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: Echanges Epistolaire Mar 6 Juil 2010 - 12:36 | |
| Il y eu une fin à cette histoire car se rencontrant sabre en mains sur le près les deux combattants émoussèrent leur lame l'un sur l'autre et si Lechelle en fut quitte pour un bras en écharpe qui interrompit le combat son opposant, lui, porte deux belles estafilades l'une à la cuisse droite, l'autre à la tempe gauche.
Ils se serrèrent la main et finirent ensemble à la plus grande taverne d'ULM autour d'une belle pinte de bière succombant sous les soins empressés des demoiselles, fort accortes, du lieu.
Pour les lecteurs je tiens à préciser que ses dialogue sont le relevé d'échanges réels de deux officiers Italiens qui trouvant le temps long sur le jeu en fin de carte se firent un devoir d'y mettre un peu d'ambiance et d'échanger les propos que je suite. Remerciaient donc également le Colonel Lechelle de la division Grifonne qui s'est prêté de bonne grâce au jeu. Bien sur nous avions pris soin d'avertir nos supérieur et les admin que c'était un divertissement et non une querelle.
Dernière édition par Ombre le Mar 5 Avr 2011 - 19:39, édité 1 fois |
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Soules
Nombre de messages : 672 Age : 52 Localisation : Lyon Date d'inscription : 05/08/2008
| Sujet: Re: Echanges Epistolaire Mar 6 Juil 2010 - 13:14 | |
| - de Noblecourt a écrit:
Ils se serrèrent la main et finirent ensemble à la plus grande taverne d'ULM autour d'une belle pinte de bière succombant sous les soins empressés des demoiselles, fort accortes, du lieu.
Je signale que l'approvisionnement en bière de la GA est sous responsabilité du corps Belge. Si vous avez bu de la bière de contrebande, vous êtes en infraction et je vais de ce pas au tribunal. Pour les filles, les polonais risquent de vous faire le même genre d'ennui, ce sont eux qui gèrent le cheptel des filles de joie qui suit la GA. | |
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| Sujet: Re: Echanges Epistolaire Mar 6 Juil 2010 - 14:36 | |
| Du coup t'as de la chance que Pijak démissionne ça lui aurait pas plus que tu descendes de la bière de contre-bande, et que tu prennes d'autre fille que celle gérer par notre corps |
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| Sujet: Re: Echanges Epistolaire Mar 6 Juil 2010 - 15:50 | |
| Et oui, heureusement pour vous, je ne suis plus juge. (faudra d'ailleurs que je change ma bannière ^^) |
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| Sujet: Re: Echanges Epistolaire Mar 6 Juil 2010 - 20:53 | |
| - Citation :
Je signale que l'approvisionnement en bière de la GA est sous responsabilité du corps Belge. Si vous avez bu de la bière de contrebande, vous êtes en infraction et je vais de ce pas au tribunal. Pour les filles, les polonais risquent de vous faire le même genre d'ennui, ce sont eux qui gèrent le cheptel des filles de joie qui suit la GA. Contrebande c'est vite dit, moi je dirais plutôt gracieusement offerte par les COA lors du repli de ceux-ci face au rouleau compresseur Italien Bien des choses ont alors été récupéré dans les campements abandonnés... comme des fûts de Guinness |
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| Sujet: Re: Echanges Epistolaire Mer 7 Juil 2010 - 12:15 | |
| Exact camarade nous on a bu et peloté ce que nous avons ravi à ceux d'en face, prise de guerre c'est a nous géré par nous et il est vrai qu'il y avait de la Guiness ce soir la... heu le veille...heu le lendemain.... Bon en fait y avait de la Guiness la...et si vous avez dans l'idée de récupérer nos prises, nous on explose, on dynamite (oui la aussi on a de l'avance) on éparpille façon puzzle .... |
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Pierre de Jehay Prince de Liège
Nombre de messages : 5843 Age : 52 Date d'inscription : 01/02/2009
| Sujet: Re: Echanges Epistolaire Mer 7 Juil 2010 - 12:52 | |
| de Noblecourt, je suis déçu...mais trèèès déçu.....vous auriez pu m'appeler tout de même.... | |
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| Sujet: Re: Echanges Epistolaire Mer 7 Juil 2010 - 16:18 | |
| Il en reste !!!! |
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| Sujet: Re: Echanges Epistolaire Jeu 8 Juil 2010 - 1:36 | |
| Ahhh non désolé pour la Guinness... j'ai tout bu Cela dit il reste encore une tord boyau à base de patates... mais il a tendance à rendre aveugle... |
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| Sujet: Re: Echanges Epistolaire Jeu 8 Juil 2010 - 12:28 | |
| Ahh oui j'oubliais ton nom c'est Guy Ness de Poissac |
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| Sujet: Re: Echanges Epistolaire | |
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