Chronique belge

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Le colonel Nimajneb, du haut de la colline surplombant Saaleplatte, réfléchissait à un plan d'action...
l'infanterie Belge mélée à quelques battaillons de l'infanterie française, s'avançait lentement vers la ville tandit que plus loin, la cavalerie harcelait les positions ennemies. Au milieu de tout cela, Saaleplatte se tenait fierement, un drapeau Prussien en haut du plus haut batiment.
Tout à coup, le colonel entendit un vacarme furieux, les canons Belges étaient en action, bombardant la ville.
s'adressant à un cavalier à coté de lui

Lieutenant, donnez l'ordre à notre infanterie d'avancer...

Le cavalier partit au galop, il expliqua ce qu'attendait l'Etat-Major Belge des régiments. Le premier à s'avancer fut le colonel Dougla "le brave" se dit Nimajneb, les deux battaillons d'infanterie du colonel Dougla traversèrent la plaine, baionnette au canon, ils rentrèrent dans la ville.
Nimajneb regardait anxieusement Saaleplatte, ne faisant pas attention à se qui se passait autour de lui, et de la ville. Tout à coup, un drapeau apparut au dessus de la ville,le colonel Nimajneb, à cause de la fumée des canons, ne vit pas de quel drapeau il s'agissait, il prit ses jumelles pour mieux voir, et il vit avec joie le drapeau belge, flotté fièrement au dessus du batiment le plus haut qui quelques heures avant, avait comme drapeau le drapeau Prussien.

Saaleplatte était prise...

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Contrairement à la résistance opposé au début de l'offensive sur Saaleplatte, les combats s'étaient stabilisés, et les fusillades à proximité de la ville faisaient des pertes innombrables des deux côtés.

Découvrant une brèche dans le côtés nord de la ville, fait pas des tirs de canons, les bataillon du colonel Dougla s'enfoncèrent pour ouvrir le chemin à l'armée. C'est avec stupéfaction qu'ils furent opposés à peut de résistance côtés Prussiens réussirent à se barricader dans les premiers baraquements, essuyant tout de même des tirs de toutes part.
Le reste d'un des deux bataillons réussis à penétrer dans l'Eglise de la ville, et avait attaché le drapeau belge en haut du clochet. Celui ci fut perçu par les troupes Belges et donna du courage à tous les hommes en dehors et aux barricades de la villes.Ce fut comme un signal clair de l'attaque finale.
À ce moment une déferlante de troupes Françaises et Belges mélangées entrèrent avec rage dans la ville, écrasant toute résistance.

Des cris de victoire se firent entendre de part et autre de la ville de la part des bataillons de la Grande Armée, et malgrès les pertes importantes et le fait que les combats continuaient à l'Est de la ville, ce n'était qu'une question d'heure avant de prendre entièrement position sur la ville.

C'est avec un immense soulagement que Dougla, les yeux cernés par les longues discussions sur les stratégies de la prise des deux villes, appris la nouvelle.
Tous les quart d'heure, on apprenait encore de nouveaux bataillons ennemis tombés au combat.

Dans un soupir, Dougla pensa tout haut dans sa tente de commandement:

_Enfin...

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Reese de sa tente apercus le drapeau belge flotter sur le clocher de Saaleplatte , une immense joie s'empara de lui . La division belge avait reculer face à une belle offensive prussiennes mais les braves de sa division n'avait pas perdu espoir et c'est grace à eux que la situation à été renverser .

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Le colonel guitoon entra dans la ville avec l'un de ses bataillons, la ville avait souffert des bombardements mais la majorité des batiments etaient intact. En regardant le clocher de l'eglise et vit claquer au vent le drapeau belge issé par les hommes du colonel dougla pendant la bataille "du beau travail qu'ils ont fait la" pensa t'il. Cependant déja les eclaireurs leurs faisaient par d'un regroupement prussien, la contre offensive n'allait pas tarder. "domage pensa t'il je n'aurai même pas eut le temps boire un verre avec le reste de la division"

- Major fracastor dites a vos hommes de recupérer des munitions et de soigner les blesser on ne reste pas longtemps.

"au loin, déja le son des fusillades se faisait entendre, la guerre appellait son lot de morts et il n'etait pas encore atteint"

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L'etat-major belge avait pris comme QG, la taverne du village de Saaleplatte, qui s'appelait: "La taverne du village". Les rapports étaient excellent, les Prussiens fuyaient en désordre, et malgrés un semblant de résistance, la rive allait être totalement reprise d'ici quelques heures. A ce moment, dans la taverne, un énorme "BOUM" se fit entendre, toutes la taverne trembla, le dernier pont venait de se faire détruire par l'artillerie belge. Plus aucun pont ne permettrai dorénavant à l'ennemi d'envoyer des renforts aux quelques battaillons Prussiens sur la rive Belge. ces derniers battaillons allaient bientot se faire repousser dans l'eau où s'il ne meurt pas des charges de cavalerie, ils mourraient noyer dans l'eau.
La rive était maintenant vraiment prise, à part quelques pauvres petits battaillons n'ayant aucune chance. La victoire de la grande armée allait pouvoir se faire grâce à l'intervention de la division belge.

La victoire est à nous, dit simplement Nimajneb. Puis, son regard regardant Saaleplatte sur la carte se détourna vers...Bad Kosen...

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Les explosions incessantes autour de la ville avait crée chez Dougla un mal de crâne qui perdurait.
Le spectacle était désolant: des milliers d'hommes en uniforme jonchait le sol, le sang avait remplacés les flaques d'eaux et remplissait les cratère creusé par les boulets.

Les ponts détruits, les différentes armées se criait criait avec rages, n'ayant plus de cibles. Dougla, la raisons perdus par cette douleur à la tête et la folie de l'action s'approcha de la rive avec ses hommes et tira en rang sur l'artillerie ennemis qui pilonnait sans cesse.

Ses hommes et lui avaient oubliés qu'ils étaient à porté de tir, et en fasse d'une mort certaine qu'une armée enragée lui attendait.

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jusque là, l'armée Belge avait manqué de vrai chef, seul le colonel Guitoon, à moitié Général dirigeait les opérations, bien qu'il fut bon stratège, l'anarchie régnait quand même dans le camp belge, Le général Reese n'avait plus donné signe de vie depuis des semaines voir des mois et le général Nimajneb était partit en permission, aussi, quand ce-dernier retourna sur le front, il vit une pagaille indescriptible, il ne s'étonnais plus que la rivière n'avait put être franchie... il regarda dans sa jumelle Bad Kosen et il vit un groupe d'officier Prusse occupé à se bourrer la gueule dans une taverne, et malgrés cela, les belges n'avaient toujours pas traversé la rivière...
Nimajneb se dit:
Il était temps que je revienne
puis il réunit les officiers du Lion Belge...il va y avoir du changement dans la battaille pour la prise de Bad Kosen

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Le major Dirk frimout et son battaillon de sapeur, réussit à construire un pont grâce à la couverture efficace des trois unités de dragons du général Ciendre et de l'unité dragon du général Nimajneb, en tout quatre battaillons de cavalerie, qui chargeaient tous se qui qui se rapprochaient trop du pont... finalement, les Prussiens en appelèrent à leurs cavalerie, ainsi, un battaillon de Dragon et un battaillon d'hussard Prussiens réussirent à charger les sapeurs, le général Nimajneb, sur la rive opposée, observa anxieusement la charge, mais les canons de la rive Belge et la cavalerie sur l'autre rive déroutèrent les pauvres cavaliers Prussiens, le général Nimajneb se dit: "s'en est fini, mes sapeurs sont morts, une charge de cavalerie ça pardonne pas"...il se trompait car lorsque la poussière soulevée par la charge de cavalerie se dissipa dans l'air, les sapeurs étaient toujours là, fièrement occupé à construire leurs ponts qui commençait à prendre forme, ils étaient tellement motivé qu'ils avaient utilisé les planches en bois prévues pour la construction comme pieux contre la cavalerie qui se sont empalé dessus. Le pont construit, le régiment du colonnel Larrey traversa rapidement avec ses hussards qui prirent possession de Bad Kosen, le lendemain matin, le général de division Nimajneb entra fièrement dans Bad Kosen, il vit au loin l'Etat-Major du général Rafagnac qui fuyait la ville...
Le major Dirk Frimout et son battaillon alla construire un nouveau pont plus au nord, ils essuyèrent encore une charge de cavalerie, des cuirassiers cette fois...cette fois c'est sur, ces sapeurs sont des Dieus...

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Nimajneb avait quitté son Etat-Major une petite minutes, pour voir au-dessus d'un bâtiment le champ de battaille, la victoire belge était évidente et elle allait durer, les Prussiens de leurs ignorances reprirent la ville et ils mirent l'étendard Prusiien au haut de leurs clocher, ils étaient fier comme des....Prusse, et Nimajneb rit de leurs naiveté, ils avaient réussi à reprendre le dessus une petite minute dans la battaille, mais seule la cavalerie était encore en ville, Nimajneb demanda alors à une estafette de partir donner l'ordre à l'infanterie de se presser pour arriver en ville avant que la cavalerie soit détruite, il était un peu inquiet que seule la cavalerie tenait la ville, pour sur, il se sentira mieux quand l'infanterie entrera en ville, et il espérait juste que les Hussards de Larrey tienne le coup le temps que l'infanterie arrive, il était évident que la ville ne pouvait être reprise sans l'intervention de l'infanterie...quoi que...Tout à coup, les hussards montèrent sur le clocher de la ville, ils arrachèrent le drapeau, crachèrent dessus, et puis ils mirent le feu avant de placer le drapeau belge sur la ville...

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Les Belges se battaient comme des fauves, ils avaient décidé de prendre Bad Kosen... Hélas, ils avaient beau donné tous leurs efforts, ils n'arrivaient pas à traverser en nombre cette foutue rivière... Les Prusses avaient clairement décidé de ne pas laché non plus Bad Kosen, ils avaient simulé un léger repli pour reprendre leurs forces et contre attaquer rapidement, la contre attque se mettait en place et les Belges allaient bientot plié sous le nombre, mais c'était décidé, ils ne lacheraient pas l'assaut sur Bad Kosen, même s'il fallait tuer dans l'affaire des dizaines de milliers d'hommes autant chez les Prusses que chez les Belges. Le général de Division Nimajneb avait jusque là sous-estimé les Prusses, il était persuadé que la victoire ne pouvait qu'être Belge. Mais voilà, l'ennemi était finallement aussi très fort, pas aussi fort, mais très fort quand même , jusque là, Nimajneb partait du principe qu'à vaincre sans péril, on triomphe quand même, et la résistance Prusse lui fit réfléchir à cette phrase...
A vaincre sans péril on triomphe sans gloire, donc à vaincre avec péril, c'est la gloire. Finalement, cette résistance prusse sera salutaire aux troupes Belges, plus tard, on dira: "regardez, un Belges, c'est un brave, ils ont prit une ville alors que la situation leurs étaient défavorable"... oui, finnalement ça avait du bon. En plus, si on gagne, L'empereur donnera sans doute des récompenses à tous les officiers Belges.
Un coup de canon fit sortir Nimajneb de ses réflexions, il réalisa tout à coup qu'il fallait trouver un nouveau plan de battaille, pour contrer cette méprisable contre-attaque... Il réfléchi, encore, puis encore, mais il ne trouva aucune idée. En désespoir de cause, il ordonna à son unité de dragon de charger les grenadiers ennemis, les dragons galopèrent, puis ils chargèrent dans les rangs des grenadiers... il réussirent à tuer un grand nombre de grenadiers, mais les troupes placées autour commencèrent à faire feu. Une salve, les dragons tenaient debout, ils essayèrent de charger encore les grenadiers, mais une nouvelle salve les mis en déroute...

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Les Belges avaient élargi leurs fronts, maintenant, ils se battaient dans la foret au nord de Burgel et tous le terrain qui s'étends plus vers le nord...Les Prussiens avaient profité de ce brusque changement pour construire un pont au nord de Bad Kosen, c'était très clairement la seule chose qu'ils avaient affaire, c'était très clairement ce que voulais l'Etat Major Belge, ils étaient tombés dans le piège, mais ils ne le savaient pas encore, et ils allaient bientot réalisé leurs bétises, aucune pitié ne sera faite pour les Prusses, les Belges leurs avaient proposé bien gentillement, de remettre leurs armes et de respecter une totale neutralité envers la Grande Armée, ils ont refusé, maintenant, les troupes Belges savent qu'ils se battrons jusqu'au bout, et le bout se sera la mort de tous ces Prussiens...

Le major Dirk Frimout (et son battaillon), célèbre dans toutes la Belgique pour sa résistence face aux charges de cavalerie, construisit un tous nouveau pont, et ce malgrés une charge de hussard, quand on disait qu'ils étaient réputé pour leurs résistance...ils essuyèrent même trois tir d'un battaillon d'infanterie, oui, vraiment, ce Dirk Frimout aura droit à une médaille, une fois qu'on aura vaincu les Prusses et qu'on sera à Berlin...

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8 juin: cette fois, la situation a changée, se sont les Prusses qui tente la traversée de la Saale, il ne tient qu'à nous d'empêcher la construction des ponts construit par les sapeurs Prussiens, cette situation a changée à cause de l'arrivée massive de renforts chez les Prussiens tandis que chez nous, on ne peut compter que sur nos anciens régiments, qui se font de plus en plus rare, en effet, un régiment est avant tout un officier, et certains partent en permission tandis que d'autres se font tuer, comme l'ancien général Reese, il est resté des mois durant en permission de santé, puis un jour, alors que nous n'y attendions vraiment plus, il revient et nous dit qu'il va pouvoir reprendre la direction de son régiment, une discussion commence pour savoir si le général Guitoon, qui a prit sa place durant son absence, doit lui céder la place où pas, Guitoon semblait prêt à laisser à Reese la division.
Le lendemain, on apprends que le général Reese est mort... rapport officiel:

Citation :: Quelque heure après avoir repris le commandement de son régiment suite
à sa grave blessure à la jambes droite, l'ex ( dégradé) Général de
Division Reese est mort de la gangrenne alors qu'il menait sont
régiment au front. Il a déclaré avant sa mort qu'il était désolé
d'avoir laissé tomber sa division meme si c'était totalement
indépendant à sa volonté.

ce rapport nous est parvenu d'un de ses majors, il semblerait qu'il serrait mort des suites de sa blessure à la jambe. Certaines rumeurs disent qu'en réalité il serait passé à l'ennemi, d'ailleurs son major qui a annoncé son décès n'a plus donné de nouvelles depuis, et le corps du général Reese n'a jamais été retrouvé. Mais la raison officielle est, et restera que le général Reese est mort des suites d'une blessure qu'il a eu au combat...

quoi qu'il en soit, pour le moment, les troupes Belges se battent comme ils peuvent, malgrès qu'ils n'ont encore reçu aucun renforts de régiments depuis bien longtemps, le seul atout des belges est maintenant qu'ils sont la plupart assez expérimenté...est-ce que se sera suffisant pour prendre Bad Kosen, toujours aux Prussiens depuis le début de la campagne, malgrés tous les efforts déployé par la grande armée pour prendre cette ville? est-ce que les Prussiens et la coalition en général vont pouvoir renverser la situation grâce à leur apport de nouveaux bataillons? est-ce que l'expérience de la Grande armée va pouvoir contrebalancer la tendance au renversement de situation en faveur de la coalition?

quoi qu'ils en soit, des messages ont été envoyé depuis Paris, Bruxelles et Rome, de nombreux régiments sont partis de toutes les régions de l'empire pour permettre la victoire de la Grande Armée, les premiers régiments Français sont déjà arrivé, d'autres vont suivre et les premiers Régiments Belges et Italiens vont également bientot arrivé, les soldats de la coalition ne vont plus pouvoir s'arrêter un instant... La grande armée va encore faire une victoire éclatante comme ça a été le cas pour toutes les batailles jusqu'à ce jour...

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La campagne en Transylvanie s'était terminée depuis maintenant bien longtemps, les troupes de la Grande Armée rentrèrent dans leurs pays totalement dépité par la défaite...
Les belges rentrèrent dans leurs garnisons respective... La garnison du général Van Den Blousck était à Nivelles, et à peine fut-il rentré dans sa ville brabançonne qu'un messager arriva de l'est, le message arriva au général Van Den Blousck

Citation :: Général Van Den Blousck,
ordre vous est donné de quitté votre garnison en direction de l'est, nous nous donnons rendez-vous à Aix-La-Chapelle jeudi 09 octobre, soyez là, notre aide est solicitée de la part de la Grande Armée, la guerre va éclatée à l'est, la Grande Armée a besoin des troupes Belges, faites mouvements le plus vite possible et prévenez votre division
Fretis ala mayonesa

c'était il y a deux semaines, demain, les troupes de la division allait arriver à Aix-La-Chapelle où le Corps Belge allait être rassemblé une nouvelle fois...
en attendant, les troupes faisait marche sous la pluie vers l'est, vers le Rhin, vers les Prussiens...

Van Den Blousck pensa à sa campagne précédente où il avait été amputé d'une jambe, un boulet Autrichien... Van Den Blousck avait bien l'intention de se venger de cette affront...

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Est d'Orange.
Fretis ala Meyinoasa est là.
Il galvanise un bataillon de grenadiers au milieu des champs.
Les combats sont proches.
Un cavalier Belge approche:
"Messieurs, les colonels Salamandre et Piet van den Blousck m'ont chargé de vous prévenir, les Russes sont en face, en formation."

Fretis envoya aussitôt un messagers alerter ses deux bataillons de voltigeurs, et demanda a ses medecins de monter l'hopital de campagne. Une fois ceci fait il alla voir les autres colonels Belges présent.
"Pour ma part, mon hôpital de campagne est prêt, mes grenadiers en place et mes voltigeurs reculent pour s'aligner avec eux."
Sur ces mots il s'installe avec ses troupes et attend.
Il n'attend pas longtemps.
Quelques heures et une ligne Belge est formée.
Fretis eu un sourire.
Puis des coups de feu, des cris et autres bruits de guerre.
Les combats sont proches.

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