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 |  Sujet: Campagne Napoleono 'loire à tous - Récit de campagne  Dim 24 Juin 2012 - 0:05 | |
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__________________________________________________________________________________________ Jour 1: Visite à Machecoul Rien de mieux que la campagne française pour se reposer, malheureusement, je n'étais pas là à la tête de 1'349 hommes pour me reposer, mais pour vaincre les Français et la Grande Armée. Quand, avec mes hommes et mon état-major, j'étais enfin arrivé près de la civilisation, après au moins 5 heures de marche dans les campagnes et les forêts, je me dis que rien n'était mieux que les villes, mais j'avais oublié un détail, la ville était peut-être sous contrôle Français, ou d'une autre Nation de la Grande Armée. Nous avançâmes un peu plus quand mon second qui regardait la petite ville avec ses jumelles m'appella :- Mon Colonel ! Il y a trois soldats habillé en rouge, et l'un d'entre eux tiens un drapeau Britannique. Il y a de très forte chance que l'on soient au bon endroit.Il me disait ça avec le sourire aux lèvres. Et quand le Caporal Igor Daitiarev sourit comme ça, c'est que c'est surement vrai.- Passez moi vos jumelles Caporal, dis-je en le regardant, perché sur mon cheval, comme lui d'ailleurs, et comme tout les membres de mon état-major.
Seul mes soldats étaient à pied. Mais ça, ce n'était pas mon problème, le problème, c'était de savoir si vraiment la ville qui se trouvait devant nous était sous le contrôle des Coalisés et donc de la Kriegsakademie ou de la Grande Armée Napoléonienne et de ses sous-fifres. Je regardais donc dans les jumelles en direction de la ville, et vit exactement ce que le Brigadier Daitiarev m'avait décrit. C'est alors que j'entendit des bruits de sabot s'approcher de mon cheval. Je detournis mon attention des jumelles et regarda à côté de moi, le Major Von Preuzen s'était approché, et m'addressa la parole :- Colonel, êtes-vous sur que c'est sans danger ?- Oui Major, j'en suis absolument sur, dites aux hommes de se bouger, On nous offriras un logement gratuit ici surement, répondit-je, le sourire aux lèvres.Le Major se tourna et traversa les rangs de soldats, en leur répétant encore et encore que nous étions arrivés en lieu sûr. Quelque soldats avaient l'air joyeux, d'autres avait l'air de s'en foutre royalement. Mais quand je demanda au Major prussien Von Preuzen de leur dire de se lever et d'avancer vers le village, le Major cria :- SI VOUS NE VOUS BOUGEZ PAS MAINTENANT VERS LE VILLAGE, PAS DE GAMELLES PENDANT 5 JOURS !!!!C'était totalement le contraire a mes intentions, mais ça avait l'air de marcher. Mon Second, mes Gardes Cuirassier à Cheval et Moi-même avançames dans la vallée, mes hommes et le Major prussien un peu derrière nous. En nous voyant arriver, les cinq gardes britanniques était surpris, surtout par la taille de notre armée. Deux d'entres eux sortirent leurs mousquets et les pointèrent vers nous. Mais celui qui tenait le Drapeau Anglais dit quelque chose en anglais aux autres et ils baissèrent leurs mousquets. L'homme au Drapeau s'approcha alors et me dit avec un très mauvais accent allemand, langue que j'avais appris à l'Académie :- Guten Tag, hier ist Machecoul, ist eine lein Städt in kontroll Coaliser, Colonel !Son allemand était très médiocre, surtout que son accent ne faisait vraiment pas allemand, la façon dont il avait dis sa phrase était extrêmement mauvaise. Je me retournis et vit le Major Von Preuzen revenir au trot vers nous, lui comprennais l'anglais, il allait pouvoir m'aider, car parler l'allemand dans ses conditions, c'était inacceptable.- Major, pouvez-vous traduire mes paroles allemandes en anglais, car je comprends à peine leurs dires, et c'est très difficile de discuter dans ces conditions, dis-je au Major.- Bien sûr Colonel, commencez, je vous prie, me répondis le Major.Penadant ce temps-là, le Caporal Daitiarev était parti faire une inspection du matériel des troupes.- Alors : Bonjour, je suis le Colonel Napoleono, de la Kriegsakademie de la Coalition. J'ai été envoyé ici par le Tsar de toutes les Russie pour me battre aux côtés de la Coalition. Nous recherchons un endroit ou passer la nuit, avant de partir pour de bon sur le front, avec mon régiment, dis-je enfin.Le Major traduit en anglais au garde, puis le garde répondit au Major, et il me traduisit :- Il dit qu'acceuilir une nuit un régiment de l'armée de Kriegsakademie serait un "honneur", et nous souhaite bonne chance pour la suite de la Campagne ici.- Hummm.... Bien, allez prévenir nos troupes, et faîtes-les entrer dans le village, le plus tôt sera le mieux, répondis-je hâtivement au Major.C'est alors que le Caporal Daitiarev revint au galop vers moi et le major Von Preuzen. Il avait fini son inspection.- Tout le monde à tout le matériel nécessaire, même nos compatriotes Kazakhs, dit le Caporal, en soufflant un peu.- Bien, nous avons l'accord pour une nuit, mais pas plus, il faut faire rentrer le régiment au plus vite derrière les barricade de cette petite ville, j'ai un mauvais présentiment, lui répondis-je, avec un air soucieux.J'étais soucieux, mais il fallait se reposer, avant de penser à la guerre.... |
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